La surveillance algorithmique mise en place pendant les JO devrait rester, nous déclare Éric N., qui a réussi à faire de sa marotte un métier
Laurent Nuñez a évoqué, mercredi devant les députés, un « bilan positif » du recours, durant les Jeux olympiques et paralympiques, à l’intelligence artificielle pour analyser les images issues de caméras de surveillance.
Et personne n'est surpris
C'est limite énervant tant de prévisibilité.